1. Se rabaisser
C’est un défaut universel chez les femmes. Quand elles sortent avec un homme dont elles sont amoureuses, il y a toujours un moment où elles abordent ce qu’elles n’aiment pas chez elles. Pourquoi ? Une faible estime de soi, peut-être, mais en général, il s’agit plutôt de la manière dont les femmes nouent des relations entre elles : on partage des histoires tragiques afin de se rapprocher de ses amis. Mais attention les filles, les mecs ne sont pas comme ça. Ils fraternisent en discutant de leurs exploits. Ils trouvent que partager ses faiblesses est peu attirant et rebutant. Pire encore – vous rabaisser est une insulte pour votre homme car vous sous-entendez qu’il ne fréquente pas la perle rare. Rendez-le fier d’être avec vous et gardez vos insécurités au placard.
2. Trop analyser les choses
« Il m’a dit “Coucou” hier, mais seulement “Salut” aujourd’hui. Est-ce que ça veut dire qu’il ne m’apprécie plus ? » Réveillez-vous, ma vieille. Si vous saviez à quel point l’homme moyen réfléchit peu à ce qu’il dit, vous ne perdriez jamais une seconde à décortiquer ses moindres mots. Prenez ses paroles pour argent comptant. S’il ne se révèle pas digne de confiance, rompez tout simplement et passez à autre chose.
3. Parler de son petit ami avec ses copines
Les hommes, heureusement, ne se rendent pas compte de ce que les femmes dévoilent *vraiment* à leurs comparses lorsqu’il est question des affaires très personnelles de leur petit ami, mais ils en sont suffisamment conscients pour se sentir mal à l’aise. Vous avez déjà vu votre compagnon changer de couleur et jeter un regard inquiet quand il entre dans une pièce remplie de vos amies ? C’est parce qu’il sait qu’elles connaissent toutes son salaire, son poids et son passé amoureux, même si ça ne fait qu’une semaine que vous sortez ensemble. Il ne réalise pas qu’elles ont aussi lu tous ses textos, qu’elles savent qu’il embrasse bien et qu’elles connaissent précisément son tour de fesses. Faites-leur promettre le secret dès aujourd’hui afin qu’il ne le découvre jamais.
4. Les interrompre
Quand un homme s’adresse à vous, imaginez-le debout sur une scène, sous les projecteurs. C’est comme ça que lui se voit, alors autant lui emboîter le pas. Les hommes sont toujours en représentation quand ils parlent, ne les interrompez donc jamais. Un de ces jours, observez une conversation entre deux hommes – vous verrez qu’ils ne se coupent pas la parole ou ne se soufflent pas la réplique, ils ne hochent même pas la tête et ne sont pas très engageants. Ils écoutent, tout simplement. Dorénavant, faites de même. Il vous en sera reconnaissant et pourra parler davantage, surtout de questions telles que ses sentiments.
5. Poser des questions insolubles
« Tu la trouves belle, n’est-ce pas ? », « Je suis grosse et hideuse. Non, ne dis pas le contraire. Regarde-moi ! Je suis horrible ! Dis-le ! », « Pourquoi tu ne m’appelles plus tous les jours comme avant ? » Si vous avez déjà posé des questions de ce genre à votre partenaire (et on sait que vous l’avez fait, ne faites pas l’innocente), vous vous souviendrez de la tête qu’il a faite sur le coup. C’est le même regard qu’adresse un soldat quand il lit le panneau « Attention : champs de mine ». Il veut avancer, mais il ne sait vraiment où mettre les pieds. Pire, les femmes font parfois comme si ces questions admettaient une réponse, en lançant par exemple avec un avertissement du genre « Il n’y a pas de mauvaise réponse, tu ne t’attireras pas d’ennuis », mais elles agressent malgré tout leur partenaire quand il reconnaît enfin, après 18 heures d’interrogatoire, que oui, il trouve parfois Cheryl Cole séduisante. La solution ? Ne posez pas de questions négatives. Renversez la situation et poser une question à laquelle il appréciera de répondre (et dont vous apprécierez la réponse). Remplacez « J’ai l’air grosse là-dedans ? » par « Qu’est ce qui te plaît dans cette tenue ? ». Troquez le « Elle est plus jolie que moi » pour un « Raconte-moi un truc marrant qui s’est passé au boulot aujourd’hui. » Et remplacez toujours « Tu m’aimes ? » par un « Je t’aime. »